Ce matin 8h30,
j’accompagne Jean-Guy et Diane dans leur baignade quotidienne. Je veux tester
mon appareil photo sous l’eau. Pour l’utiliser sous l’eau, il y a une courroie
flottante que l’on attache à l’appareil. Je mets l’appareil dans la poche de
mon maillot pour entrer dans l’eau. Ça prend les deux mains pour mettre les
palmes et ajuster le masque.
Aussitôt
dans l’eau, je vois l’appareil flotter devant moi. Il est sorti de la poche de
mon maillot et est parti à la dérive. Donc, jusqu’à maintenant ça fonctionne
très bien, ça flotte en tout cas.
L’appareil
est facile d’utilisation et je prends beaucoup de photos, d’une sirène, d’un
monstre marin (un selfie), et de nombreux petits poissons. Il y a de très beaux
et même des transparents. Il y a une grosse structure de métal qui est au fond
de la mer, bizarre.
Finalement
le test est concluant, car l’appareil fonctionne toujours, une fois sorti de l’eau.
Il y a beaucoup de planches le matin, car la mer est calme. Plusieurs
planchistes amènent leur animal de compagnie. Sur le retour, on croise un beau
petit VW bug, converti en dune buggy et équipé pour transporter des planches.
Le reste de
la journée sera utilisé pour faire la réconciliation bancaire et payer les
factures. Ce n’est jamais facile, car je dois sortir le bureau et l’installer
dans la salle à manger. L’imprimande est transportée dans sa boite originale,
Je dois m’assurer qu’il y a de l’internet. Si l’internet du camping coupe, je
sors le mien, j’ai mon propre module avec Verizon une compagnie américaine. Je
dois transférer de l’argent canadien dans un compte en argent américain pour
payer des achats en pesos sur ma carte de crédit en dollars US. Et puis, il y a
toujours les coupures de courant, mon ordi est muni d’une pile qui prend le
relais lorsque le courant est coupé Par contre, l’imprimande n’a pas de pile.
Pour imprimer cet après-midi, j’ai dû partir la génératrice. Et puis quand on a
réussi à tout faire en remballe tout le bureau.
Il n’y a
rien de facile au Mexique, mais c’est un petit prix à payer pour ne pas se les
geler et passer l’hiver à pelleter. Demain,
direction d’un parc national mexicain qui est le seul à posséder des coraux sur
la côte ouest du pays.
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