mardi 6 janvier 2009
Jour 53 Jeudi 01 Janvier 2009.
Jour de départ, petit trajet, on passe de l'autre coté de Cancun, sur la Riviera Maya, on arrêtra saluer nos amis brésiliens, souhaiter la bonne année aux québececois qui n'ont pas encore finalisé leur décision , à propos de leur voyage à la Tierra de Fuego, c'est à 10,000 km de Cancun
Flavia, le brésilienne, nous remet un beau gateau et ils nous invitent au Brésil, on se sent un peu comme leurs parents. Ils vivent dans le sud du Brésil, une région montagneuse semblable aux Dolomites, nord de l'Italie et sud de l'Autriche. Leurs ancêtres étaient italiens et allemands et se sont installés au Brésil, il y a 150 ans. Ils ont d'ailleurs visité les Dolomites et trouvaient que ces gens ressemblaient beaucoup à leurs familles au Brésil.
On traversera Cacun, le trafic est léger, on croiserai une zone de construction, sans signalisation de détour. On se perdra, un mexicain viendra nous reconduire sur la bonne route.
Notre plan c'est de visiter les 4 campings sur notre chemin et de choisir celui qui fera notre affaire. Le premier à Puerto Morelos, c'est un petit camping de 9 places et 8 cabanas. Une belle plage avec des récifs de coraux au large. Ces récifs brisent les vagues, ce qui est très agréable pour les baigneurs. Un seul chien et un seul chat sur le camping. D'ailleurs le chat est un voyageur, il s'est infiltré dans une caravane et et allé à Calgary. Les gens sont repassés l'hiver suivant et l'ont débarqué. Ce sera un petit voisin à surveiller. Les banos et duchas sont très propres et notre ami Robert le chef pompier, rencontré à Merida et recroisé à Chichen Itza, nous confirme que c'est un excellent endroit. Ils y passent 1 mois. En moins de rien les femmes sont sur la plage.
Le propriétaire est un artiste peintre francais, barbu qui ressemble à Che, toujours un cigare à la bouche. Sa femme une petite Salvadorienne est très d'affaires. On négocie, on s'entend, on restera 15 jours. On prendra le temps de bien installer les caravanes, ca demandera un peu de zigonnage, mais ca vaudra la peine.
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