Voyage en Alaska, Vendredi 24 Juillet 2015, Jour 54, Tok, Alaska.

Habituellement, je fais le blogue durant la nuit, quand je me réveille, et ensuite je retourne me coucher. La nuit passé, je ne me suis pas réveillé donc j’ai fait le blogue ce matin. On est retourné de notre journée d’hier vers 22h00 donc ça été une journée fatigante.

On a donc fait la grasse matinée et on a quitté le camping à 11h. La route que nous avons prise est le Tok cut off, c’est une route secondaire qui nous ramène sur l’Alaska Highway. Ce n’est pas une route très fréquentée, et elle n’est pas belle. Elle est parsemée de vallons, c’est la pire route asphaltée de l’Alaska, du moins de celles que nous connaissons. De plus, il n’y a pas d’attraits touristiques.

On verra les montagnes au loin et comme il faisait beau, on a pu prendre quelques photos. On a croisé un beau lodge qui avait été bâti par les ingénieurs de l’armée américaine durant la deuxième guerre. J’ai aussi inclus l’info sur kissalaska.com, nous avons rencontré leur bus, si ça vous dit de rêver.

Nous avons fait un peu d’épicerie, le lavage et regardé un peu de télévision en pliant le linge. Pour les comptes, je ferai ça plus tard rien n’est dû avant le début du mois. Je recharge tous les appareils et je remet le Iphone en circulation, car demain nous serons au Yukon. Faut aussi sortir les passeports.

Demain, samedi, le Yukon, dimanche matin, la Colombie-Britannique et dimanche après-midi, l’Alaska. La frontière a été découpée assez bizarrement. Notre plus grosse obligation c’est de prendre le traversier lundi prochain, de Haines vers Skagway.

Après Skagway, l’Alaska sera fini, ça fait trois semaines aujourd’hui qu’on est en Alaska. Ça passe très vite. Nous commençons déjà à planifier notre rencontre du 9 août, lorsque Chantal et Victoria arriveront à Vancouver.

A date, le plan se déroule comme prévu. Après la visite des filles, on a un itinéraire, mais pas de plan. On ira avec la météo et comme bon nous semblera.

C’est de cette façon qu’on aime voyager, un peu comme les hobos, on  prendra le prochain train quand ça adonnera. C’est ça la liberté en VR.