Je me rends
sur l’Ile Bell pour visiter le Musée minier et la mine historique no 2. Il faut
prendre le traversier, en arrivant, on peut voir les falaises de roches rougeâtres.
C’est une roche de 500 millions d’années qui contient 52% de fer, donc, elle
est très pesante. Il y a eu 6 mines sur l’ile exploitées de 1895 à 1966.
Pendant des décennies, ces mines ont fourni une grande partie de fer utilisé
dans le monde entier. La mine no 2 descend sous terre avec une pente de 1o
degrés, sur une distance de 5 km sous la mer.
Au tout
début, les mineurs s’éclairaient à la chandelle, qu’ils mettaient dans des
cavités, toujours du même coté du mur, pour s’empêcher de zigzaguer. Un peu plus tard les lampes à l’huile de
phoque ou d’huile de baleine ont été utilisées. Finalement, les lampes de bloc-piles
sont arrivées. La moitié du minerai de la mine a été chargé à la pelle et tiré
par des chevaux, Clydesdale, les mêmes qui tirent les gros chariots pleins de
baril de bière Budweiser. Ils étaient gardés dans une écurie sous terre. Un
garçon de 9 ans pouvait appliquer pour un emploi de nettoyeur d’écurie, pour
une paie de 25 cents par jour.
Une grande
partie des couloirs est maintenant inondée par l’eau de pluie. Un club de
plongée sous-marine les utilise pour ses activités. La température se maintient
à 8 degrés Celsius. Le musée utilise cette ressource géothermique pour
climatiser et chauffer son édifice.
Les mineurs
avaient l’habitude de nourrir les rats. C’était une police d’assurance. Si les
rats évacuaient la mine en grand nombre, c’était signe qu’il était temps pour
eux aussi d’en sortir. L’Ile Bell a connu la prospérité. Pendant des décennies
mais malheureusement, elle a été remplacée par les riche gisements du Labrador.
Pendant la
deuxième guerre mondiale, les sous-marins allemands ont torpillé plusieurs
navires qui transportaient le minerai vers Sydney, en Nouvelle-Écosse. On
reprend la route demain. Possiblement que ce blogue sera en retard. J’éprouve
encore de la difficulté avec Vidéotron.
Je me rends
sur l’Ile Bell pour visiter le Musée minier et la mine historique no 2. Il faut
prendre le traversier, en arrivant, on peut voir les falaises de roches rougeâtres.
C’est une roche de 500 millions d’années qui contient 52% de fer, donc, elle
est très pesante. Il y a eu 6 mines sur l’ile exploitées de 1895 à 1966.
Pendant des décennies, ces mines ont fourni une grande partie de fer utilisé
dans le monde entier. La mine no 2 descend sous terre avec une pente de 1o
degrés, sur une distance de 5 km sous la mer.
Au tout
début, les mineurs s’éclairaient à la chandelle, qu’ils mettaient dans des
cavités, toujours du même coté du mur, pour s’empêcher de zigzaguer. Un peu plus tard les lampes à l’huile de
phoque ou d’huile de baleine ont été utilisées. Finalement, les lampes de bloc-piles
sont arrivées. La moitié du minerai de la mine a été chargé à la pelle et tiré
par des chevaux, Clydesdale, les mêmes qui tirent les gros chariots pleins de
baril de bière Budweiser. Ils étaient gardés dans une écurie sous terre. Un
garçon de 9 ans pouvait appliquer pour un emploi de nettoyeur d’écurie, pour
une paie de 25 cents par jour.
Une grande
partie des couloirs est maintenant inondée par l’eau de pluie. Un club de
plongée sous-marine les utilise pour ses activités. La température se maintient
à 8 degrés Celsius. Le musée utilise cette ressource géothermique pour
climatiser et chauffer son édifice.
Les mineurs
avaient l’habitude de nourrir les rats. C’était une police d’assurance. Si les
rats évacuaient la mine en grand nombre, c’était signe qu’il était temps pour
eux aussi d’en sortir. L’Ile Bell a connu la prospérité. Pendant des décennies
mais malheureusement, elle a été remplacée par les riche gisements du Labrador.
Pendant la
deuxième guerre mondiale, les sous-marins allemands ont torpillé plusieurs
navires qui transportaient le minerai vers Sydney, en Nouvelle-Écosse. On
reprend la route demain. Possiblement que ce blogue sera en retard. J’éprouve
encore de la difficulté avec Vidéotron.
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